Oh des murs, des murs, que de murs !!!!
Si je te disais combien j'ai du en abattre
Pour pouvoir dire je suis, sans me battre.
Oh !!! Oui combien de murs !!!!!
Nos têtes en sont pleines
Dès petit, ils s'installent en nos plaines
Pensées persécutées d'obstacles
Pour se mouler dans la débâcle.
Des murs, combien de murs encore
Plantés là au milieu du décor,
Des murs obligeant le silence
Ou des murs hurlant, rance !
Chaque mur est un rêve à affranchir
Là dans nos prisons de pierres
Le ciment nous isole, trop fier,
Se cachant de nos soupirs.
Toi à l'ombre de tes murs
Viens, écoutes le ciel qui susurre
Viens te promener dans le vent
Viens, vis de tes sentiments.